PÉDOCRIMINALITÉ – KINSEY ou les dérives de la sexologie

Alfred Kinsey, considéré comme l’un des pionniers de la sexologie moderne, s’applique à étudier les comportements sexuels des américains des années 1950, dans le but d’aborder la diversité des sujets tabous, qui tranchent avec l’image conservatrice de l’époque.

À l’issu de nombreux entretiens et questionnaires, deux volumes portant sur les comportements sexuels de l’homme et de la femme sont publiés sous le titre des Rapports Kinsey.

Devenus la Bible des défenseurs de la libération des mœurs, ces deux ouvrages sont aujourd’hui en occident, la référence des lois votées en faveur de la légalisation des perversions.

QUI ÉTAIT ALFRED KINSEY ?

La pensée de Kinsey a des conséquences sur l’ensemble de la pensée occidentale ainsi que sur les mesures imposées par les gouvernements en matière de droits sexuels et de libération des mœurs.

Mais qui était Kinsey ?

Issu d’une famille chrétienne pratiquante, Alfred Kinsey rejette la croyance judéo-chrétienne au profit de la philosophie darwinienne qui stipule que l’homme n’est qu’un animal hautement évolué.

Après avoir quitter son foyer familiale, il rassemble un groupe de collaborateurs afin d’entreprendre un travail « scientifique » relatif à l’étude des comportements sexuels des individus de 0 à 99 ans…

Kinsey souffrait lui même de nombreux troubles du comportement sexuel. À la fois libertin, sadomasochiste, voyeur et exhibitionniste, il trouvera la mort à la suite de ses pratiques perverses extrêmes.

LES TRAVAUX DE KINSEY

Kinsey s’applique à présenter son travail comme une analyse scientifique et non morale du phénomène de la sexualité.

En réalité ses  travaux visent à normaliser les comportements sexuels déviants, mais surtout à démonter les interdits sexuels régis par les sociétés traditionnelles allant de l’homosexualité à la pédocriminalité.

La principale caractéristique de ces recherches est que Kinsey se focalise sur le plaisir, et non sur la sexualité procréative ou encore la dimension affective et relationnelle de la sexualité.

Les actes et la satisfaction ressentis sont au centre de son l’analyse, l’orgasme est le principal élément de mesure.

Les données statistiques du Rapport Kinsey sont basées sur un échantillonnage douteux non représentatif de la population américaine moyenne. En effet, le panel était constitué d’individus blancs marginaux, prostituées, prisonniers ou ex-prisonniers et de criminels sexuels.

Force est constater que les comportements sexuels des individus sélectionnés diffèrent de ceux d’un citoyen moyen…

Posons nous les questions suivantes : Kinsey avait-il la ferme conviction que chaque individu avait exercé des pratiques perverses ? Son étude visait-elle à imposer sa vision personnelle de la sexualité en présentant les déviances et perversions comme des pratiques normales ?

APOLOGIE DE LA PÉDOPHILIE & MALTRAITANCE INFANTILE

Loin de se limiter à observer et à interroger des adultes, l’équipe Kinsey élargie ses expérimentations sexuelles auprès de nourrissons, d’enfants et d’adolescents.

Afin de rendre compte de leurs observations, les pédocriminels qui participaient à l’étude de Kinsey, fournissaient des informations et des films d’agressions sexuelles sur des enfants. De ce fait Kinsey a pu répertorier des données d’enfants agressés sexuellement et décrire « l’orgasme » chez les nourrissons et les jeunes enfants.  

Pire, l’apologie de la pédophilie y est prêcher, avec l’intention d’enseigner au public la notion que les adultes peuvent utiliser les enfants comme « partenaires » sexuels.

Le Pr Judith Reisman, fondatrice du mouvement anti-Kinsey, a réussi à prouver les tromperies méthodiques de ces recherches. Dans son ouvrage « SEXUAL  SABOTAGE », il apparaît qu’une grande partie des données provenaient de pédocriminels.

Mieux, le Pr Reisman publie de nombreux livres dans lesquels elle démontre la réalité de l’immoralité criminelle dans laquelle le monde est plongé, louant l’inversion totale des valeurs.

LIBERTÉ SEXUELLE OU LÉGALISATION DES PERVERSIONS 

La révolution sexuelle des années 1970, loin d’avoir libérée la sexualité, l’a pervertie. Selon les observateurs, les rapports Kinsey auraient joué un rôle important dans la perception que les individus ont sur leur sexualité et sur « l’évolution » des mœurs que connaitra la société occidentale au cours des décennies qui suivront la publication de ces ouvrages jusqu’à nos jours.

En effet, la plupart des mouvements de libération sexuelle puisent leur essence dans la pensée de Kinsey.

De même, c’est sur ces rapports que s’appuient l’ONU et l’Union Européenne pour imposer l’apprentissage du sexe aux très jeunes enfants.

ÉDUCATION À LA SEXUALITÉ – SEXUALISATION PRÉCOCE

Avant cela, l’éducation sexuelle mettait l’accent sur la biologie humaine, la reproduction, l’hygiène et le mariage pour les jeunes adultes en âge de vivre et de comprendre les relations affectives qui régissent la société humaine. Aujourd’hui, la pensée de Kinsey a réussi à s’implanter et à s’imposer comme la référence en matière d’enseignement sexuel, en dépit de l’aspect biaisé et imprécis des données de ses travaux.

En effet, l’ensemble des programmes d’éducation sexuelle est issu des rapports Kinsey, devenus la référence mondiale et prétendument scientifique de la recherche en sexologie.

Au nom de l’enseignement sur le sida, les droits des enfants ou de l’orientation sexuelle, de nouveaux moyens d’enseignement sont élaborés dans  les écoles européennes, afin de rendre obligatoire la sexualisation précoce des enfants.

En France et dans d’autres pays de l’Union européenne, l’état intervient directement dans l’apprentissage du sexe à l’école. Des cours de masturbation sont au programme, des livres regorgeants de sexualité sont conseillés par le rectorat, en Allemagne certains établissements diffusent des films pornographiques aux enfants…

Cet engouement pour l’introduction de l’éducation sexuelle des enfants pré-pubères s’est immiscé minutieusement depuis les publications de Kinsey.